Bonjour
Le Photographe au coeur de la Polémique de l'affaire Hollande-Gayet vient de parler
Pour lui, il a été étonné du manque de sécurité autour de François Hollande
et il a dit que les photos sur Hollande n'étaient qu'une commande du journal Closer, il n'a pas pu en tirer autant d'argent que ça
Voici l'article
http://www.leparisien.fr/politique/closer-le-president-est-mal-protege-selon-le-photographe-13-01-2014-3489737.php
Interrogé par RTL, Sébastien Valiela, le photographe à l'origine des révélations vendredi par le magazine Closer de la liaison supposée entre François Hollande et Julie Gayet, est formel: «Le président est mal protégé».
Il aurait pu attenter à la vie du président «sans aucun problème». Interrogé par RTL, Sébastien Valiela, le photographe à l'origine des révélations vendredi par le magazine «Closer» de la liaison supposée entre François Hollande et Julie Gayet, est formel : «Le président est mal protégé». Selon lui, «il y avait peu de chance qu'on (le) repère», lors de ses planques pour surveiller les allers et venues du président au domicile de la comédienne, preuve que «le président est mal protégé».
Déjà auteur des photos qui ont révélé l'existence de Mazarine, la fille cachée de François Mitterrand, le photographe s'est dit «surpris» du faible dispositif de sécurité de François Hollande : «Autour du président, normalement, c'est plus important que ça». «Il y a un problème, il n'y avait quasiment pas de sécurité. Pour pouvoir se rendre à des rendez-vous avec Julie Gayet, il a dû prendre des risques», a-t-il ajouté.
Sébastien Valiela a expliqué qu'il aurait pu «sans aucun problème» attenter à la vie de François Hollande car, «tous les soirs, on était là sans aucune sécurité, même à l'extérieur». «Le président a sous mes yeux fait le tour du pâté de maison» pour «s'engouffrer dans un parking, sur un scooter, le casque pas attaché et avec aucun véhicule derrière», a-t-il dit.
Un dispositif plus important pour les précédents présidents
Par ailleurs, «absolument personne» ne protégeait le président quand il était dans l'appartement, a-t-il poursuivi. «A partir du moment où il était dans l'appartement, la sécurité partait», a-t-il indiqué. Le photographe dit par ailleurs avoir été «surpris» de ce manque de sécurité, estimant «qu'un dispositif autour d'un président normalement, c'est plus important que ça».
«J'ai travaillé à peu près sur tous les derniers présidents. Notamment par exemple pour la photo de Mazarine, on était obligés de se placer à peu près à 300 mètres. Il y avait une quinzaine de gardes du corps, c'était très surveillé, on était loin, on avait un très gros objectif. Là, on était à proximité», a-t-il expliqué. «On n'était pas extrêmement cachés, on n'a pas mis en place quelque chose de très compliqué».
«Vous seriez déçus de connaître le prix»
Sébastien Valiela a précisé par ailleurs que ces photos étaient «une commande du magazine Closer». «On s'y est mis après Noël, le 26», a-t-il ajouté, précisant qu'il avait auparavant commencé à «creuser» le sujet à partir du mois de mars. «Il y avait beaucoup de monde sur le coup. Cette histoire serait automatiquement sortie», a-t-il encore estimé.
Interrogé sur le montant des photos, il s'est contenté de dire: «Vous seriez déçus de connaître le prix». «C'est une histoire franco-française. A partir du moment où c'est une commande, on ne peut pas demander la même chose que si on faisait monter les enchères entre plusieurs journaux. Que ce soit Mazarine ou ça, c'est sans doute les histoires que j'ai vendues le moins cher», a-t-il ajouté.
Le Photographe au coeur de la Polémique de l'affaire Hollande-Gayet vient de parler
Pour lui, il a été étonné du manque de sécurité autour de François Hollande
et il a dit que les photos sur Hollande n'étaient qu'une commande du journal Closer, il n'a pas pu en tirer autant d'argent que ça
Voici l'article
http://www.leparisien.fr/politique/closer-le-president-est-mal-protege-selon-le-photographe-13-01-2014-3489737.php
Interrogé par RTL, Sébastien Valiela, le photographe à l'origine des révélations vendredi par le magazine Closer de la liaison supposée entre François Hollande et Julie Gayet, est formel: «Le président est mal protégé».
Il aurait pu attenter à la vie du président «sans aucun problème». Interrogé par RTL, Sébastien Valiela, le photographe à l'origine des révélations vendredi par le magazine «Closer» de la liaison supposée entre François Hollande et Julie Gayet, est formel : «Le président est mal protégé». Selon lui, «il y avait peu de chance qu'on (le) repère», lors de ses planques pour surveiller les allers et venues du président au domicile de la comédienne, preuve que «le président est mal protégé».
Déjà auteur des photos qui ont révélé l'existence de Mazarine, la fille cachée de François Mitterrand, le photographe s'est dit «surpris» du faible dispositif de sécurité de François Hollande : «Autour du président, normalement, c'est plus important que ça». «Il y a un problème, il n'y avait quasiment pas de sécurité. Pour pouvoir se rendre à des rendez-vous avec Julie Gayet, il a dû prendre des risques», a-t-il ajouté.
Sébastien Valiela a expliqué qu'il aurait pu «sans aucun problème» attenter à la vie de François Hollande car, «tous les soirs, on était là sans aucune sécurité, même à l'extérieur». «Le président a sous mes yeux fait le tour du pâté de maison» pour «s'engouffrer dans un parking, sur un scooter, le casque pas attaché et avec aucun véhicule derrière», a-t-il dit.
Un dispositif plus important pour les précédents présidents
Par ailleurs, «absolument personne» ne protégeait le président quand il était dans l'appartement, a-t-il poursuivi. «A partir du moment où il était dans l'appartement, la sécurité partait», a-t-il indiqué. Le photographe dit par ailleurs avoir été «surpris» de ce manque de sécurité, estimant «qu'un dispositif autour d'un président normalement, c'est plus important que ça».
«J'ai travaillé à peu près sur tous les derniers présidents. Notamment par exemple pour la photo de Mazarine, on était obligés de se placer à peu près à 300 mètres. Il y avait une quinzaine de gardes du corps, c'était très surveillé, on était loin, on avait un très gros objectif. Là, on était à proximité», a-t-il expliqué. «On n'était pas extrêmement cachés, on n'a pas mis en place quelque chose de très compliqué».
«Vous seriez déçus de connaître le prix»
Sébastien Valiela a précisé par ailleurs que ces photos étaient «une commande du magazine Closer». «On s'y est mis après Noël, le 26», a-t-il ajouté, précisant qu'il avait auparavant commencé à «creuser» le sujet à partir du mois de mars. «Il y avait beaucoup de monde sur le coup. Cette histoire serait automatiquement sortie», a-t-il encore estimé.
Interrogé sur le montant des photos, il s'est contenté de dire: «Vous seriez déçus de connaître le prix». «C'est une histoire franco-française. A partir du moment où c'est une commande, on ne peut pas demander la même chose que si on faisait monter les enchères entre plusieurs journaux. Que ce soit Mazarine ou ça, c'est sans doute les histoires que j'ai vendues le moins cher», a-t-il ajouté.