"La plupart des femmes n'étant ni bourgeoises de gauche flippées, ni pétasses arrivistes, rares sont les féministes. Percevant la maternité comme une grâce (plutôt qu'une aliénation), le travail comme une obligation (plus qu'une libération), la femme normale n'a souvent pas d'autre choix que de prendre un emploi pour nourrir sa famille." [Alain Soral - Vers la féminisation]
« Le progrès aujourd'hui, c'est de faire en sorte que les femmes puissent rester à la maison. » [Marine Le Pen]
Quand le féminisme monte, la tradition, la natalité, l'éducation ainsi que la conscience de la lutte des classes descendent...
Quel est le rôle des féministes dans la société, si ce n'est de détruire la tradition, la structure et le fonctionnement originel de l'Homme depuis les débuts de l'humanité. Les féministes font en effet l'apologie de la femme qui travaille (non plus pour elle, mais pour un patron), de la femme soumise (non pas à son mari, mais à son patron, ainsi qu'à la société de consommation et au statut de femme-objet). Le tout en dénigrant le statut de mère (au foyer), le rôle ancestral qu'ont les femmes que de transmettre la vie ainsi que les gènes culturels d'un couple, d'une famille, d'une patrie... Elles font aussi l'apologie de la liberté (dont l'aboutissement est l'explosion du nombre de divorces depuis mai 68). Pour son impact écologique, le féminisme a poussé à la consommation (comme c'en était notamment l'objectif), il a donc notamment mené les femmes à acheter leur propre voiture, et donc à émettre leur propre pollution (d'autant plus qu'auparavant, quand le salaire de l'homme suffisait à faire vivre le foyer, il était beaucoup plus aisé pour lui d'habiter près de son lieu de travail). Pour l'aspect sanitaire, on peut se rappeler de cette époque, pas si lointaine, où les familles d'ouvriers trouvaient le loisir et le courage d'entretenir un jardin, leur permettant ainsi d'avoir des légumes sains, directement à domicile (sans passer par le système agro-alimentaire, amateur de pesticides et d'additifs alimentaires). Qu'a donc gagné la femme à aller travailler en regard de tout ce qu'elle a fait perdre au foyer (et notamment l'éducation des enfants, laissée aux mains d'étrangers et de maitres de l'endoctrinement pour former ce citoyen du monde, cet homme féminisé et cette femme soumise).
« Le progrès aujourd'hui, c'est de faire en sorte que les femmes puissent rester à la maison. » [Marine Le Pen]
Quand le féminisme monte, la tradition, la natalité, l'éducation ainsi que la conscience de la lutte des classes descendent...
Quel est le rôle des féministes dans la société, si ce n'est de détruire la tradition, la structure et le fonctionnement originel de l'Homme depuis les débuts de l'humanité. Les féministes font en effet l'apologie de la femme qui travaille (non plus pour elle, mais pour un patron), de la femme soumise (non pas à son mari, mais à son patron, ainsi qu'à la société de consommation et au statut de femme-objet). Le tout en dénigrant le statut de mère (au foyer), le rôle ancestral qu'ont les femmes que de transmettre la vie ainsi que les gènes culturels d'un couple, d'une famille, d'une patrie... Elles font aussi l'apologie de la liberté (dont l'aboutissement est l'explosion du nombre de divorces depuis mai 68). Pour son impact écologique, le féminisme a poussé à la consommation (comme c'en était notamment l'objectif), il a donc notamment mené les femmes à acheter leur propre voiture, et donc à émettre leur propre pollution (d'autant plus qu'auparavant, quand le salaire de l'homme suffisait à faire vivre le foyer, il était beaucoup plus aisé pour lui d'habiter près de son lieu de travail). Pour l'aspect sanitaire, on peut se rappeler de cette époque, pas si lointaine, où les familles d'ouvriers trouvaient le loisir et le courage d'entretenir un jardin, leur permettant ainsi d'avoir des légumes sains, directement à domicile (sans passer par le système agro-alimentaire, amateur de pesticides et d'additifs alimentaires). Qu'a donc gagné la femme à aller travailler en regard de tout ce qu'elle a fait perdre au foyer (et notamment l'éducation des enfants, laissée aux mains d'étrangers et de maitres de l'endoctrinement pour former ce citoyen du monde, cet homme féminisé et cette femme soumise).