Au prime abord, je tiens à m'excuser pour cette longue absence... j'avais un examen professionnel à passer pour que je puisse être promu dans mon travail alors je me suis mis à la révision... chose qui n'est pas facile car il y avait beaucoup de modules à voir et à revoir si je voulais réussir.
LE DIAMANT VERT
Ô diamant vert !
Si tu me suis,
Tu sauras que j’aime Lisbonne.
Ô diamant vert !
Au cœur même d’une dégénérescence
On a vu le jour.
Drôles de moments
Et un quotidien toujours le même.
Drôles de moments
Et des oiseaux de bon augure
Qui ne font que traverser notre ciel.
Ô diamant vert !
Ne me demande surtout pas de rester
Plus qu’il ne le faut
Car
- Et tu l’as surement deviné –
Je me hisse souvent
Sur la pointe des pieds
Pour voir ce qu’il y a
Au-delà de notre prison.
Ô diamant vert !
Derrière les murs de notre prison,
Il y a l’infinie suavité de l'occident.
J’entrevois même
Des musiciens qui jouent… l’accordéon.
LA MISÈRE -Ӏ-
C’est comme une sensation du déjà vu,
Ça ressemble à un petit coin du paradis
Ou les lianes couvrent des rosiers.
Évidemment l’encens de la poésie
Embellit – ici – sans relâche
Et met des couleurs
Là où les débris du noir trainent.
C’est comme une sensation que j’ai déjà connu,
La pesanteur n’est plus
Et puis quelque chose, comme une lumière,
Vient donner de l’éclat aux jours ternes.
Je dis ça
Pour vous donner une idée,
Pour vous expliquer…
Des perles au creux de la main,
Des perles sur les cheveux,
Des perles dans le cœur,
Des perles sur les lèvres,
Et puis des perles partout.
Je sais,
Je dis ça pour vous convaincre
Et quelque part pour me justifier.
Je sais,
C’est d’elle que je parle
Quoique je le fais discrètement.
LA MISÈRE - ӀӀ -
Avec un peu d’encre,
Je construis des décors
Qui s’entêtent souvent
A prendre la place du réel...
Je détruis les murs de vos cités
Et avec les pierres ainsi amassées,
Je dessine des portraits.
Chaque toile qui naît sous mes doigts
Contient des bourgeons de la ressemblance.
Les feuilles des plantes grimpantes
Rappellent par leurs formes
Ta chevelure ondoyante,
Les fleurs de jasmin
Tes éclats de rire,
Le bleu de l’azur
Ta robe bleu-marine.
LA MISÈRE - ӀӀӀ -
C’est comme une lumière bleue
Dehors, je l’attendrai
Pour pouvoir coordonner mes efforts
Et me prouver
Qu’avant d’être un humain,
J’ai mis l’intelligence sur un piédestal.
C’est comme une vague
Qui s’acharne contre le roc,
Je la contemplerai
Car avant d’habiter Paris
Elle avait résidé dans mon cœur…
POURQUOI JE L'AI FAIT ?
Je l'ai fait pour la vie
Je l'ai fait pour l'amour
Pour mes poèmes d'antan
Pour tout ce que j'ai perdu
Pour l'espoir
Pour le soleil
Je l'ai fait pour toi.
Je l'ai fait pour toi
Pour moi
Sans penser un seul instant
Aux échecs d'autrefois.
Je l'ai fait pour la vie
Pour tes yeux et ta voix
Pour l'amour de éternel
Et qui n'a pas de visage.
Je l'ai fait une fois
Je ne le répéterai pas.
Je l'ai fait pour être sûr
Que l'amour existe encore
Et mon cœur n'est pas mort.
LE DIAMANT VERT
Ô diamant vert !
Si tu me suis,
Tu sauras que j’aime Lisbonne.
Ô diamant vert !
Au cœur même d’une dégénérescence
On a vu le jour.
Drôles de moments
Et un quotidien toujours le même.
Drôles de moments
Et des oiseaux de bon augure
Qui ne font que traverser notre ciel.
Ô diamant vert !
Ne me demande surtout pas de rester
Plus qu’il ne le faut
Car
- Et tu l’as surement deviné –
Je me hisse souvent
Sur la pointe des pieds
Pour voir ce qu’il y a
Au-delà de notre prison.
Ô diamant vert !
Derrière les murs de notre prison,
Il y a l’infinie suavité de l'occident.
J’entrevois même
Des musiciens qui jouent… l’accordéon.
LA MISÈRE -Ӏ-
C’est comme une sensation du déjà vu,
Ça ressemble à un petit coin du paradis
Ou les lianes couvrent des rosiers.
Évidemment l’encens de la poésie
Embellit – ici – sans relâche
Et met des couleurs
Là où les débris du noir trainent.
C’est comme une sensation que j’ai déjà connu,
La pesanteur n’est plus
Et puis quelque chose, comme une lumière,
Vient donner de l’éclat aux jours ternes.
Je dis ça
Pour vous donner une idée,
Pour vous expliquer…
Des perles au creux de la main,
Des perles sur les cheveux,
Des perles dans le cœur,
Des perles sur les lèvres,
Et puis des perles partout.
Je sais,
Je dis ça pour vous convaincre
Et quelque part pour me justifier.
Je sais,
C’est d’elle que je parle
Quoique je le fais discrètement.
LA MISÈRE - ӀӀ -
Avec un peu d’encre,
Je construis des décors
Qui s’entêtent souvent
A prendre la place du réel...
Je détruis les murs de vos cités
Et avec les pierres ainsi amassées,
Je dessine des portraits.
Chaque toile qui naît sous mes doigts
Contient des bourgeons de la ressemblance.
Les feuilles des plantes grimpantes
Rappellent par leurs formes
Ta chevelure ondoyante,
Les fleurs de jasmin
Tes éclats de rire,
Le bleu de l’azur
Ta robe bleu-marine.
LA MISÈRE - ӀӀӀ -
C’est comme une lumière bleue
Dehors, je l’attendrai
Pour pouvoir coordonner mes efforts
Et me prouver
Qu’avant d’être un humain,
J’ai mis l’intelligence sur un piédestal.
C’est comme une vague
Qui s’acharne contre le roc,
Je la contemplerai
Car avant d’habiter Paris
Elle avait résidé dans mon cœur…
POURQUOI JE L'AI FAIT ?
Je l'ai fait pour la vie
Je l'ai fait pour l'amour
Pour mes poèmes d'antan
Pour tout ce que j'ai perdu
Pour l'espoir
Pour le soleil
Je l'ai fait pour toi.
Je l'ai fait pour toi
Pour moi
Sans penser un seul instant
Aux échecs d'autrefois.
Je l'ai fait pour la vie
Pour tes yeux et ta voix
Pour l'amour de éternel
Et qui n'a pas de visage.
Je l'ai fait une fois
Je ne le répéterai pas.
Je l'ai fait pour être sûr
Que l'amour existe encore
Et mon cœur n'est pas mort.